O artigo é da Le Figaro e gostei muito de o ler, principalmente quando menciona a Carioca, que me fez lembrar o meu Pai quando comprava o lote ‘Gambrinus’ para o ritual de fim de jantar do café de balão. Vale a pena ler.
‘Frôlant piétons et linge tendu aux flancs d’immeubles couverts de faïence, négociant de vertigineuses descentes, depuis 1901, l’antique eléctrico se faufile d’étroite ruelle en belvédère panoramique dans les plus célèbres quartiers de la ville. Qu’il tangue, ahane, grince, actionne une clochette asthmatique ou pile net pour négocier un virage, il met toujours en joie les jeunes Lisboètes s’affalant les uns sur les autres, affole les mères protégeant d’une main le sacro-saint bolo (gâteau) du samedi et rattrapant une marmaille éparpillée de l’autre. Quarante minutes à ce train-là, c’est peu pour prétendre connaître Lisbonne mais assez pour donner envie de le reprendre aussitôt en sens inverse. Et s’en éjecter à la moindre tentation – fumet de sardines grillées, lacis de ruelles tortueuses, poignant fado de la grande Amalia s’échappant d’une fenêtre.’
Continue a ler aqui.